Je suis né dans une île amoureuse du vent...

Bonjour à tous.

C’est moi : jp

Je suis né dans une île amoureuse du vent…

Je suis Martiniquais et je vis au pays.

Voyages, culture, musique : tout m’intéresse, d’ici ou d’ailleurs.

J'aime : la cuisine de mon pays, lire un bon livre, le zouk et le blues, la biguine et le gwoka...


Eternel actif, je rêve de satisfaire mes passions d'humaniste et mon envie d'être utile.


Ma devise : "Exister est un fait, vivre est un art" (Frédéric LENOIR)




jeudi, décembre 16, 2010

JAZZ A IVRY

C’est par un soir (froid) de novembre que mes pas m’avaient porté jusqu’à cette salle de concert où jouaient les Swingsters, un orchestre venu de Stockholm.











 

Connaissant Ivry comme une ville phare de la culture populaire, je m’attendais à passer une bonne soirée en musique, une de celles que je préfère : le jazz.

C’est d’abord l’accueil qui m’a séduit, avec cet apéro servi la main sur le cœur.

L’orchestre m’a dès le premier abord paru de bonne facture avec ses musiciens.

Mais je dois dire que mon intérêt s’est soudainement éveillé avec la montée sur la scène de la chanteuse jusque là anonyme dans la salle, Klara REHMAN qui prit le micro pour nous régaler d’une adorable interprétation de « Crying my heart out for you » qui fut chantée il y a bien longtemps par la regrettée Ella Fitzgerald.

Peu après la pause, le pianiste se mit à crier « Dan ». J’avais déjà repéré DAN, le maître d’œuvre de ce club de jazz ivryen, qui traînait dans la salle, connaissant tout le monde. Je vis alors DAN sortir de derrière le bar avec un objet non identifié que je déclarai à mon voisin être une bouteille de whisky réclamée par l’orchestre. Mais c’est un tout autre engin que Dan portait à la main, puisque c’est chargé d’une trompette qu’il s’installa, se faisant oublier à l’arrière de la scène.  Au moment fatidique, le son déchirant d’une trompette déchaîna son solo interprété bien sûr par Dan depuis le fond de la scène. Le public déchaîné montrait son plaisir et sa joie, encourageant Dan qui soufflait, debout sur la scène.

Je reviendrai, c’est sûr, à jazz à Ivry. Des soirées comme celle-ci, ça ne court pas les rues.

A la prochaine,
Jean-Pierre MAURICE

samedi, novembre 13, 2010

Paris et ses merveilles

Merveilleuse Mona Lisa

C’est un « petit » tableau de 77 cm sur 53 cm.

Une peinture sur bois, exposée au musée du Louvre à Paris. Je veux parler de la Joconde, œuvre du peintre et sculpteur Léonard de Vinci mort en en 1519.






















Ne nous y trompons pas : ce « petit » tableau donc, fait accourir jour après jour les visiteurs de tous pays.

Nul ne sait vraiment l’identité de ce modèle au mystérieux sourire, ni si cette œuvre a été réalisée pour le mari ou pour l’amant de Mona Lisa dite la Joconde.

Construit selon un triangle, ce portrait de représente une femme -dont les yeux semblent regarder en face le spectateur- posant devant un paysage lointain.

Certains voient dans cette peinture un clin d’œil à l’harmonie entre l’être humain et la nature.

Pour ma part, j’y trouve le plaisir de contempler une très belle manifestation de la beauté du monde… et de la femme.

En tout cas, Mona Lisa, cette tranquille et sage beauté féminine, continuera encore longtemps, pour notre grand bonheur, à fasciner les foules du monde entier.


Jean-Pierre MAURICE

dimanche, octobre 31, 2010

LA THEORIE GAIA

 









C’était en juillet 2010.

J’avais choisi avec soin un thriller pour l’été.

Mais j’étais loin d’imaginer quels plaisirs m’attendaient à la lecture de ce livre.



Sur fond de réchauffement climatique et d’inconscience de l’homme jouant avec la planète, Maxime CHATTAM nous régale d’un récit haletant, mêlant théories scientifiques et avenir de l’humanité.

L’hypothèse des vraies raisons de la disparition de l’homme de Neandertal, remplacé par l’homo sapiens, est certes romanesque mais interpelle le lecteur, suggérant  que l’homme d’aujourd’hui conserve au plus profond de lui-même des traces de ses origines sauvages du temps des cavernes...

Jouant de la peur millénariste de l’effondrement climatique, CHATTAM nous livre ici un roman habilement fabriqué qu’il faut avoir lu, pour le plaisir.

Bravo, Maxime CHATTAM

Jean-Pierre MAURICE